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Chacune de mes arrivée à l’étape que je me suis fixé la veille est une victoire. Si le physique est rodé après plus de trois cents kilomètres, les fins de parcours demeurent une véritable épreuve. Les douleurs accompagne la première heure de marche tôt le matin, puis elles laissent la place à un bon moment de répit avant de revenir. Sous une forme différent, sur des points différents mais quand je dépasse les 27/ 28 km, c’est le mental qui prends le dessus. Jusqu’au demi-tour parce que j’ai voulu raccourcir la fin de parcours ou parce que je n’ai pas pris en compte les collines…  Si la facture est salée, les détours offrent parfois de belles surprises, des endroits non spécifiés sur les guides, des gens qui n’ont pas l’habitude de voir des énergumènes avec leur coquille sur le dos.

plan

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Hubert le jardinier
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Jeannette et Roger
les chemins de campagne m’en apprennent tous les jours, mais je pense avoir compris que l’on ne dis plus bonjours à cause du monde qui nous entoure. À la campagne on dit bonjour parce qu’on est seul et que ça fait du bien de parler à quelqu’un. En ville, on a pas besoin de l’autre…

http://youtu.be/GOobjsNHcAY

ah quand même…

el camino