Je ne sais pas si ça leur fait ça aux gamins d’aujourd’hui, mais quand j’étais môme, arriver à la mer c’était quelque chose de formidable… Apercevoir la mer après la route c’était géant, c’était le début des vacances, la liberté, les jeux dans les vagues, les glaces, les coups de soleil. Une autre vie quoi…
Et bien j’ai ressenti tout ça et plus encore aujourd’hui. Je ne me suis pas jeté à l’eau parce que j’ai du poursuivre ma route dans les terres mais l’espace d’une heure j’avais 8 ans.
L’ocean se mérite ! Pour ne pas suivre la piste cyclable, j’avais prévu un routage dans les pinèdes mais à l’approche de la plage les dunes des Landes deviennent de petites montagnes, des dunes de pilât avec des pins dessus… Marcher dans le sable mou est une galère alors imaginez ce que donne un chemin de sable fin avec des pentes a 10%… J’en ai bavé mais ça a donné plus de Peps a l’arrivée 😎
Bravo Lionel, tes photos avec une composition centrée sont superbes (la pinede, le chemin, le pavillon…), ça change et l’atmosphere y est différente. Armand
Un jour de marche, c’est 10 paysages différents, autant d’ambiances et de parfums. C’est fou quand même… Évoluer au milieu de tant d’atmosphère au rythme du pas d’un petit homme !